Sans Maria del Carmen, notre fée du logis de l'av. de France, à Lausanne. Et sans notre aspirateur.
Depuis que j'habite à San Francisco, je pense donc très souvent à Maria et au magnifique travail qu'elle accomplissait, parce que je crois que je ne m'en rendais pas entièrement compte sur le moment.
Et je pense aussi très souvent à Caro, à l'époque fraîchement expatriée sur une petite île dans l'Ontario, qui m'annonçait qu'elle avait fait venir par avion, avec l'une de ses amies, son aspirateur Dyson.
Je devais sans doute être encore en plein souci d'importation de Cenovis, chocolat au nougat, dentifrice non-blanchissant et brosse-à-dent Candida car à l'époque, je n'avais pas compris.
Erreur.
The Dust Devil |
Résultat des courses, l'envie de balancer notre cher et tendre aspirateur Dust Devil par la fenêtre me prend à chaque fois que je l'utilise. Le balai s'avère être bien plus efficace.
Mais heureusement, ça n'arrive pas si souvent. Car les choses n'ont pas beaucoup changé depuis que je ne travaille plus. Le planning ménage se calque toujours sur le planning visites.
Prochaines grosses sessions de putz annoncées à mi-octobre et mi-novembre. Car mi-septembre tombe à l'eau, séjour sur sol helvétique oblige.
FYI : dust devil = tourbillon de poussière en français. L'objet non-apprécié porte donc bien son nom...
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